La pêche à mains nues

par Manuel Koums

ISBN: 978-1-4092-5448-5

Éditeur: Lulu.com

Propriétaire des droits: LULU

Copyright: © 2008 Manuel Koums Standard Copyright License

Langue: French

Pays: Belgique

Édition: LULU

Téléchargé €7.50 Ajouter au panier
Livre à couverture souple €17.00 Ajouter au panier

(571 kb)

Téléchargement: 1 documents, 571 KB

Imprimé: 174 pages, 14,81 cm x 20,99 cm, reliure dos carré collé , encre intérieure noir et blanc

Description:

Ce livre nous pose des questions auxquelles nous préférons crever nos yeux que d’y répondre. En effet, il est question ici d’une "pêche" qui permette de nous mettre à l’abri des tracasseries de la vie. Où chacun selon ses moyens, cherche à ramener de la ‘’mer’’,la subsistance conséquente pour sa survie, et celle de sa lignée. Avec les mains nues, seul face à l’immense océan, à des multiples pièges, où ira échouer une opiniâtreté de la trempe de Damako ? Malgré des gros efforts fournis pour se soustraire à une condition difficile qui s'impose à lui, rien n'y fait. Damako raconte son parcours atypique à son ami d'enfance "le phacochère". Cette œuvre nous permet de juger le parcours de l'artiste Auteur compositeur interprète de surcroit, Manu Koums. Est-ce inhumain de prévenir que tout ce qui naît n’a pas droit de cité ou bien droit à la vie ? Dans le culture francophone, avoir un diplôme s'est une chose. avoir du boulot s'en est une autre? Site: Manukoums.com

Mots-clés :

biographie récit résilience

Listé dans :

Biographies et mémoires

Stats :

Classement des ventes sur Lulu: 132,521

Note moyenne des internautes:

1 vote

Merci d' ouvrir une session ou de vous enregistrer pour coter cet article.

Services de Publication

Vous voulez raconter votre propre histoire ?

Nous avons des services de publication pour vous aider à démarrer

Commentaires:

Merci d' ouvrir une session ou de vous enregistrer pour poster un commentaire.

La lutte pour la survie oppose le bousier à l'éléphant? lisez ceci

9 fév 2009 (mis à jour 24 avr 2009)

par MANUEL KOUMS

Certes un problème se pose c’est celui de faire revenir les éléphants à tout prix disait le scarabée pourquoi faire disaient les autres bousiers et quel éléphant ? Parce que parmi les éléphants, il y avait ceux de l’Afrique constipés, ou des éléphants blancs importés par des occidentaux en Afrique qui sont incapables de faire une quelconque bouse pour aider les bousiers d’Afrique à survivre. Ceux de l’occident capables d’aller se nourrir dans des forêts de l’Afrique, de l’Amérique latine, de l’Asie pour aller faire la bouse au nord afin de développer les bousiers occidentaux. Ceux de l’Asie accompagnés toujours des cornaques qui mangent peux, travaillent plus, ne font la bouse que pour leurs scarabées et à hauteur de leur continent elles n’ont pas le souci de nourrir les bousiers du monde entier. Voilà qu’un scarabée africain nous fait remarquer que parmi les éléphants de l’occident seuls les éléphants américains étaient capables de donner une bouse qui transformait les bousiers en éléphanteaux.

En faisant quoi la question fut posée ?

-La volonté de changer la condition des bousiers suffisait et aussi par des plans bien élaborés. « Le plan marshal par exemple »

Pourquoi pas ceux de l’Europe la question fut posée aussi !

-Heu, de ceux là, n’en parlons pas. Ils ont des bouses piégés au lieu de vous développer vous intoxiquaient ! Vous pouvez toujours les avaler soit plonger dedans est-ce que vous sortirez indemne pour autant ? Chaque forêt avait pourtant la capacité d’accueillir des éléphants d’où qu’ils viennent et lorsqu’ils s’installaient quelque part, les bousiers suivaient automatiquement mais ils choisissaient l’endroit où ils voulaient bien se soulager. Il n’est donc pas question de replanter les arbres ou d’acheter des éléphants comme disent bien des bousiers pour faire revenir les pachydermes qui lorsqu’ils s’implantent quelque part, imposaient leurs exigences.

Il est question d’attendre et d’observer leur manège disaient les Coléoptères.

Dès lors que faut-il faire ?

Si chaque forêt s’évertuait à nourrir ses propres bousiers et qu’on stoppait la déforestation c’est utopique n’est ce pas ?

-Non moi je dis qu’il faut faire revenir les éléphants insistait une voix

Pour quoi faire rétorqua l’autre bousier

Pour leur faire payer la carence dont ils nous font souffrir. Si ça continue ainsi, c’est la race même des bousiers qui est menacée et qui risque un jour ou l’autre de disparition. Juste au moment où on était devenu accroc à leur bouse, et vu que depuis belle lurette, nous nous accommodions, et nous n’avions pas à en souffrir. Nos parents s’étaient nourris de leurs bouses, nous comptions aussi le faire. Voilà que les pachydermes ont décidé à l’unanimité de ne plus en faire, ils se sont concertés et grèvent. Hier, c’est bien nous qui grevions. Aujourd’hui, ce sont eux. Voilà comment la guerre de bouses était née. On pouvait observer d’un côté, les bousiers à la quête d’une moindre opportunité jurées de purger les pachydermes, de l’autre côté, les pachydermes regroupés refusant de faire leur besoin, écrasant même les bousiers dans leur déplacement. La situation paraissait tendue et intenable. Lequel des deux cèdera le premier ? De part et d’autre, ils s’observaient et se défiaient. Quant à des bousiers, elles ne faisaient que poursuivre les éléphants où qu’ils aillent dans l’espoir qu’ils finiront bien par céder sait-on jamais. C’est dans cette ambiance d’inquiétude et de défiance que je quittai le monde de la brousse, de la forêt, pour me rendre dans celui des hommes.

projet à lire

11 nov 2008 (mis à jour 7 jan 2009)

par MANUEL KOUMS

pouvions nous permettre à manuel koums de se faire une idée sur son projet à nous de le lire et de laisser un commentaire merci!

la pêche à mains nues

Partager cet article